
Dans un monde saturé de bruit, de notifications, de sollicitations mentales permanentes, se reconnecter à soi devient un acte de résistance douce. Chaque jour, nous absorbons des dizaines de stimuli, sans toujours prendre le temps de nous recentrer. Le besoin de ralentir, de respirer, de ressentir… devient vital. Parmi les approches émergentes, la sonothérapie prend une place singulière. Pas par effet de mode, mais parce qu’elle touche à quelque chose de fondamental : notre rapport au corps, à l’émotion, à l’écoute.
Une pratique ancienne pour un mal contemporain.
Le soin par le son ne date pas d’hier. Bols tibétains, gongs, chant harmonique… de nombreuses traditions ont utilisé la vibration comme vecteur de soin et d’alignement. Ce qui change aujourd’hui, c’est la manière dont ces pratiques sont transmises et vécues, dans un monde en perte de repères. La sonothérapie n’est pas une évasion, c’est un retour. Retour au corps. Retour au silence intérieur. Retour à une écoute plus fine de soi et du monde.
Un espace pour ralentir, ressentir, résonner Formée dans la durée, Katherine Hollier a créé ESKAH, une école de sonothérapie à Annecy, qui offre un cadre professionnel, ancré, humain. Loin des discours perchés ou des promesses miracles, elle transmet une pratique sensorielle, rigoureuse, accessible. Dans les formations comme dans les soins, l’objectif est clair : Permettre à chacun de se reconnecter à sa propre vibration.Pas à pas. Sans jugement. Avec respect. Ce n’est pas un hasard si de plus en plus de professionnels du soin, de l’accompagnement ou de l’éducation viennent se former à la sonothérapie. Nous avons besoin d’outils subtils et puissants à la fois, pour accompagner autrement, pour écouter autrement, pour prendre soin de soi et des autres sans s’oublier.
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